Cris du coeur. Munâjât

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  • 177
  • Juin 2010

Les « Munâjât » ne sont ni des confidences ni, à proprement parler, des prières. Il s'agit d'épanchements, parfois violents, de ce que l'on a dans le cœur, ou sur le cœur. Très populaires, ces « Cris du cœur » ont dépassé de beaucoup en rayonnement les cercles soufis pour nourrir la méditation et la prière de tous les croyants...

Quantité

Présentation de l'éditeur : Les « Munâjât » ne sont ni des confidences ni, à proprement parler, des prières. Il s'agit d'épanchements, parfois violents, de ce que l'on a dans le cœur, ou sur le cœur. Très populaires, ces « Cris du cœur » ont dépassé de beaucoup en rayonnement les cercles soufis pour nourrir la méditation et la prière de tous les croyants. Composés en « saj' » — prose scandée par des assonances —, ils expriment l'inexprimable en ayant recours à des images très variées. Pour dire cette expérience spirituelle, Ansârî œuvre à la fois comme un peintre et comme un musicien : par touches successives ou en déployant les harmoniques d'une véritable mélodie. Le thème majeur des « Cris du cœur » est la recherche de Dieu. Ansârî y invite, tout en indiquant les paradoxes de cette quête, les chemins de la découverte et ce qui nous y porte : l'amour et la mémoire de Dieu.

Fiche technique

Référence
9782204088886
Date de parution
Juin 2010
Collection
Patrimoines Islam
Hauteur (mm)
235
Largeur (mm)
145
Epaisseur (mm)
11
Poids (g)
290
Format
Broché
Langue
Français
Traduction
De Laugier de Beaurecueil, Serge
Préface
Moezzi, Mohammad Ali Amir
Pages
177
Ansârî, Khawâjâ 'Abd Allâh al-

Khwâjâ ‘Abd Allâh al-Ansârî (1006-1089) est né et mort à Hérat à l'ouest de l'actuel Afghanistan, à la frontière iranienne. Enfant très précoce, puis travailleur acharné, il a consacré sa vie à l'enseignement et à la polémique contre les innovateurs, théologiens et philosophes, ce qui lui valut de rencontrer bien des épreuves. Il fit un guide spirituel éclairé et chaleureux. Serge de Laugier de Beaurecueil (1917-2005), dominicain, a consacré de nombreuses années à l'étude d'Ansârî, d'abord à l'Institut d'études orientales du Caire, puis en Afghanistan où il était allé sur les pas du maître. A Kaboul, pendant vingt ans, il fut amené à s'occuper des enfants des rues, ce qu'il raconte notamment dans Mes enfants de Kaboul (éd. du Cerf, 2004). Il a publié en outre Nous avons partagé le pain et le sel (éd. du Cerf, 1965, repris dans Un chrétien en Afghanistan, éd. du Cerf, 2001) et Je crois en l'étoile du matin (éd. du Cerf, 2005).