Castes et races. Suivi de : Principes et critères de l'art universel (Ép.)

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  • 90
  • Septembre 1991

Après avoir rappelé la nature des grandes castes de l'hindouisme, l'auteur tente de définir les caractéristiques psychiques fondamentales des races blanche, jaune et noire. Cette étude est suivie de considérations sur les fondements de l'art sacré et sur l'individualisme et le relativisme typiques de l'art moderne.


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« La caste prime la race, parce que l'esprit l'emporte sur la forme [...]. Pourtant, il est impossible d'admettre que les races ne signifient rien en dehors de leurs caractères physiques, car s'il est vrai que les contraintes formelles n'ont rien d'absolu, les formes n'en doivent pas moins avoir une raison suffisante. » Ces lignes résument bien l'esprit de ce court mais dense ouvrage, où l'auteur renvoie dos à dos le racisme biologique, caricature de la hiérarchie traditionnelle, et l'égalitarisme démocratique, caricature de l'égalité des hommes au point de vue de leurs fins dernières. Après avoir rappelé la nature des grandes castes de l'hindouisme, l'auteur tente de définir les caractéristiques psychiques fondamentales des races blanche, jaune et noire. Cette étude est suivie de considérations sur les fondements de l'art sacré et sur l'individualisme et le relativisme typiques de l'art moderne.

Fiche technique

Référence
9788872520284
Date de parution
Septembre 1991
Hauteur (mm)
205
Largeur (mm)
155
Epaisseur (mm)
5
Poids (g)
130
Format
Broché
Langue
Français
Pages
90
Schuon, Frithjof

Né à Bâle le 18 juin 1907, Frithjof Schuon fut à la fois le grand porte-parole de la métaphysique traditionnelle à la suite de Guénon et un maître spirituel de grande envergure. Son oeuvre écrite est considéreée comme un ‘‘chef-d’oeuvre d’équilibre et de nuances’’. Parmi la vingtaine d’ouvrage qu’il publia de son vivant citons Perspectives spirituelles et faits humains qui est un recueil composeé d’aphorismes et d’extraits de lettres ou d’articles, et Comprendre l’Islam. Insistant sans relâche sur l’importance de l’invocation du Nom de Dieu (dhikr Allâh), le Cheikh ‘Isâ Nûr al-Dîn Ahmad – tel était son nom en Islam – s’éteignit paisiblement en invoquant à l’aube, le 5 mai 1998, à Bloomington aux Etats-Unis.