Logique et Transcendance
- 267
- Juillet 2007
Au scepticisme et au relativisme moderne, aux “méandres de la théologie” et au sectarisme religieux, Schuon oppose ici l'intelligence de la métaphysique et les intuitions décisives de la sagesse intemporelle et universelle qui lui permettent d'aborder sans détours les plus épineuses difficultés de la spiritualité.
Réédition attendue d'un ouvrage de référence, publié pour la première fois en 1970, ce livre d'une extraordinaire actualité montre d'une part la parfaite adéquation entre la teneur des révélations, aussi transcendantes soient-elles, et les exigences logiciennes de la pensée humaine et pose, d'autre part, les bases d'un véritable “oecuménisme ésotérique”, si tant est que ce dernier terme ait encore un sens en ces temps de confusion. Au scepticisme et au relativisme moderne, aux "méandres de la théologie" et au sectarisme religieux, Schuon oppose ici l'intelligence de la métaphysique et les intuitions décisives de la sagesse intemporelle et universelle qui lui permettent d'aborder sans détours les plus épineuses difficultés de la spiritualité. Métaphysicien d'exception et vrai philosophe, Frithjof Schuon (1907-1998) signait là l'un de ses ouvrages majeurs.
Fiche technique
- Référence
- 9782351220115
- Date de parution
- Juillet 2007
- Hauteur (mm)
- 220
- Largeur (mm)
- 150
- Epaisseur (mm)
- 20
- Poids (g)
- 380
- Format
- Broché
- Langue
- Français
- Pages
- 267
- Schuon, Frithjof
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Né à Bâle le 18 juin 1907, Frithjof Schuon fut à la fois le grand porte-parole de la métaphysique traditionnelle à la suite de Guénon et un maître spirituel de grande envergure. Son oeuvre écrite est considéreée comme un ‘‘chef-d’oeuvre d’équilibre et de nuances’’. Parmi la vingtaine d’ouvrage qu’il publia de son vivant citons Perspectives spirituelles et faits humains qui est un recueil composeé d’aphorismes et d’extraits de lettres ou d’articles, et Comprendre l’Islam. Insistant sans relâche sur l’importance de l’invocation du Nom de Dieu (dhikr Allâh), le Cheikh ‘Isâ Nûr al-Dîn Ahmad – tel était son nom en Islam – s’éteignit paisiblement en invoquant à l’aube, le 5 mai 1998, à Bloomington aux Etats-Unis.