La Couronne des fiançailles

5,50 €
Disponible
  • 109
  • Janvier 2010

Al- Iskandarî, soufi et juriste célèbre du XIIIe siècle, manifesta dans toute son œuvre un souci d’harmonie entre exotérisme et ésotérisme. Le présent traité n’y dément pas. Ses écrits constituent le premier grand exposé doctrinal de la confrérie shadilite dont il fut le troisième Maître spirituel.

Quantité

Présentation de l'éditeur: Le cœur se compare à un arbre qui s’abreuve de l’eau de l’obéissance, et dont les fruits sont les perceptions. L’œil, quant à lui, a pour fruit l’appréciation des choses, l’oreille, l’écoute du Coran, la langue pratique la mention de Dieu, les mains et les pieds le fait d’aller accomplir le bien. Si le cœur s’assèche, ses fruits disparaissent. Si donc ton cœur est devenu aride, intensifie ton dhikr et ne sois pas comme le malade qui dit: ”Je ne me soignerai pas tant que je n’aurai pas trouvé la guérison” et auquel on répondra: ”Tu ne trouveras pas la guérison tant que tu ne te soigneras pas !Al- Iskandarî, soufi et juriste célèbre du XIIIe siècle, manifesta dans toute son œuvre un souci d’harmonie entre exotérisme et ésotérisme. Le présent traité n’y dément pas. Ses écrits constituent le premier grand exposé doctrinal de la confrérie shadilite dont il fut le troisième Maître spirituel.

Fiche technique

Référence
9782908087215
Date de parution
Janvier 2010
Hauteur (mm)
163
Largeur (mm)
110
Epaisseur (mm)
5
Poids (g)
100
Format
Broché
Format bis
Poche
Langue
Français
Traduction
Penot, 'Abdallah
Pages
109
Ibn ‘Atâ Allâh Al-Sakandarî

Né à Alexandrie au milieu du XIIIe siècle, mort au Caire en 1309, Ibn ‘Atâ Allâh al-Sakandarî est une figure majeure de la spiritualité musulmane. Issu d’une famille de savants renommés d’Égypte, il fait lui-même de solides études religieuses : credo, hadith mais surtout jurisprudence (fiqh) où il excellera au point de devenir le faqîh malékite d’Alexandrie. D’abord opposé, par préjugés, à la voie spirituelle de l’Islam (le soufisme), il rencontre le maître soufi de son époque, Abû l-‘Abbâs al-Mursî, qui met un terme à tous les présupposés d’Ibn ‘Atâ Allâh. Définitivement acquis au soufisme, notre auteur assumera auprès des générations ultérieures un rôle similaire à ‘Abd al-Qâdir al-Jilanî ou Abû Hâmid al-Ghazâlî : celui du savant-soufi, maître des connaissances exotériques et ésotériques.