De la condamnation de la vanité

7,00 €
Disponible
  • 92
  • Janvier 2010

C’est dans la vigilance et la perspicacité que réside la clef du bonheur. La vanité et l’insouciance sont la source de l’infortune. Nous nous proposons d’exposer les genres de vanité ainsi que les catégories de gens aveuglés par la vanité qui ont été abusés par ce qui constitue les principes des choses, belles en apparence mais aux aspects cachés hideux.

Quantité

C’est dans la vigilance et la perspicacité que réside la clef du bonheur. La vanité et l’insouciance sont la source de l’infortune. Il n’y a pas plus grand bienfait de Dieu à l’égard de Ses serviteurs que la foi et la connaissance, et pas d’autre moyen de parvenir à Lui que l’épanouissement des poitrines par la lumière de la clairvoyance (basîra), tout comme il n’y a pas plus grand châtiment que la mécréance et l’insoumission, et rien qui n’incite à elles sinon l’aveuglement du coeur par l’obscurité due à l’ignorance. Nous nous proposons d’exposer les genres de vanité ainsi que les catégories de gens aveuglés par la vanité d’entre les juges, les savants et les hommes de bienfait qui ont été abusés par ce qui constitue les principes des choses, belles en apparence mais aux aspects cachés hideux. Nous indiquerons la manière dont ils ont été abusés par ces principes ainsi que leur insouciance à cet égard. Même s’il est impossible de les dénombrer exhaustivement, il nous est possible d’attirer l’attention sur des exemples qui nous éviterons une recherche approfondie. Les groupes de ceux aveuglés par la vanité sont nombreux

Fiche technique

Référence
9782841614141
Date de parution
Janvier 2010
Collection
Revivification des sciences de la religion
Hauteur (mm)
210
Largeur (mm)
140
Epaisseur (mm)
10
Poids (g)
130
Format
Broché
Langue
Français
Traduction
Chacal, Lyess
Pages
92
Al-Ghazâlî, Abû Hâmid

Abû Hâmid al-Ghazâlî naquit à Tûs en 450/1058. Surnommé de son vivant Hujjat al-islâm (la Preuve de l’Islam), il marqua profondément les sciences religieuses et la spiritualité musulmane. Son ouvrage majeur est Ihyâ’ ‘ulûm al-Dîn dans lequel il traite de l’ensemble des sciences religieuses en 40 livres. Il mourut dans sa ville natale en 505/1111.