La conscience de l'Absolu. Aphorismes et enseignements spirituels
- 130
- Mars 2016
"Notre conscience de l'Absolu doit devenir pour nous une seconde nature, qui nous libère des méandres, des impasses et des abîmes de la contingence." Les aphorismes ou extraits de l'oeuvre de Frithjof Schuon ici rassemblés offrent une belle ouverture sur sa perspective et son enseignement spirituel.
"Notre conscience de l'Absolu doit devenir pour nous une seconde nature, qui nous libère des méandres, des impasses et des abîmes de la contingence." Métaphysicien de renom, Frithjof Schuon (1907-1998) est l'auteur de nombreux ouvrages qui ont fait de lui l'un des principaux représentants de la Sophia perennis, la Sagesse intemporelle et universelle présente au coeur de tous les grands patrimoines de l'humanité. Les aphorismes ou extraits de son oeuvre ici rassemblés offrent une belle ouverture sur sa perspective et son enseignement spirituel. Composé d'une quarantaine de mots-clefs et suivi d'un abrégé métaphysique offrant plusieurs définitions qui permettent d'accéder à la terminologie de l'auteur, cet ouvrage est un appel à l'intelligence de la foi, à l'intériorité et au sens du sacré.
Fiche technique
- Référence
- 9782372410205
- Date de parution
- Mars 2016
- Collection
- Fragments
- Hauteur (mm)
- 180
- Largeur (mm)
- 120
- Epaisseur (mm)
- 14
- Poids (g)
- 150
- Format
- Broché
- Langue
- Français
- Préface
- Béguelin, Thierry
- Pages
- 130
- Schuon, Frithjof
-
Né à Bâle le 18 juin 1907, Frithjof Schuon fut à la fois le grand porte-parole de la métaphysique traditionnelle à la suite de Guénon et un maître spirituel de grande envergure. Son oeuvre écrite est considéreée comme un ‘‘chef-d’oeuvre d’équilibre et de nuances’’. Parmi la vingtaine d’ouvrage qu’il publia de son vivant citons Perspectives spirituelles et faits humains qui est un recueil composeé d’aphorismes et d’extraits de lettres ou d’articles, et Comprendre l’Islam. Insistant sans relâche sur l’importance de l’invocation du Nom de Dieu (dhikr Allâh), le Cheikh ‘Isâ Nûr al-Dîn Ahmad – tel était son nom en Islam – s’éteignit paisiblement en invoquant à l’aube, le 5 mai 1998, à Bloomington aux Etats-Unis.