Le chapelet d'ambre. Nouvelles (Epuisé)
- Novembre 2014
La publication du Chapelet d’ambre, au Maroc pour la première fois, 50 ans après sa dernière édition (Seuil, 1964), permet de découvrir, redécouvrir d’un oeil neuf, cet écrivain majeur de l’histoire littéraire marocaine, de rendre hommage à un auteur et à sa « littérature des profondeurs natales » qui fait aujourd’hui partie des classiques.
"À l’occasion du 10è anniversaire de la disparition d’Ahmed Sefrioui, les Éditions du Sirocco rééditent la première oeuvre d’un pionnier de la littérature marocaine de langue française. Ce recueil de nouvelles, ou contes, inspirés par Fès et son petit peuple, animés par une quête mystique, sont des récits « de l’intérieur » qui peignent délicatement, d’une « plume [qui] a la souplesse d’un pinceau et la pointe aiguë d’un crayon », tout un univers. La publication du Chapelet d’ambre, au Maroc pour la première fois, 50 ans après sa dernière édition (Seuil, 1964), permet de découvrir, redécouvrir d’un oeil neuf, cet écrivain majeur de l’histoire littéraire marocaine, de rendre hommage à un auteur et à sa « littérature des profondeurs natales » qui fait aujourd’hui partie des classiques."
Fiche technique
- Référence
- 9789954918760
- Date de parution
- Novembre 2014
- Collection
- 190
- Hauteur (mm)
- 135
- Largeur (mm)
- 15
- Poids (g)
- 220
- Format
- Broché
- Langue
- Français
- Préface
- Sefrioui, Anne
- Sefrioui, Ahmed
-
Ahmed Sefrioui, dit le « Loti marocain », né à Fès en 1915 et décédé à Rabat le 25 février 2004, il est l'un des fondateurs de la littérature maghrébine d'expression française. Ahmed Sefrioui a écrit un certain nombre de romans qui ont rencontré un certain succès, notamment Le Chapelet D'Ambre avec lequel il obtient le grand prix de l'Atlas.
Ahmed Sefrioui fut conservateur du musée à Fès, ville que l'on retrouve dans la plupart de ses écrits. De l’école coranique aux écoles de Fès, en passant par la découverte de la langue française, se fait un cheminement que l'on retrouve dans ses écrits « historiques ».
Il devient journaliste à L'Action du Peuple, puis assure des fonctions dans la gestion et la protection du patrimoine de la ville de Fès. Il entre ensuite à la Direction du tourisme à Rabat. En 1949, il se voit décerner le grand prix littéraire du Maroc (« que le roi Hassan II lui remettra une seconde fois un demi-siècle plus tard, [le prix ayant été] rebaptisé prix du Maroc indépendant »), attribué pour la première fois à un Marocain, pour le manuscrit du Chapelet d'ambre. La majorité de ses écrits feront l'objet de rééditions ou de traductions.