Le permis et le prohibé dans le vie conjugale

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  • Juin 2011

Le Prophète dit à ses Compagnons que les relations intimes entre époux sont des actes rétribué par Dieu. Et lorsqu'ils s'en étonnèrent, il leur dit :" Que pensez-vous si l'on assouvissait ses appétits charnels de manière illicite, ne commettrait-on pas un péché ? Eh bien ! Il en est de même lorsqu'on les assouvit de façon licite : on obtient une récompense"...

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Les façons de pratiquer les actes qui ne sont pas purement culturels sont laissées à l'appréciation de chaque individu. Seulement, même dans ces actes qui ne sont pas purement culturels, l'Islam prône des principes (des obligations, des interdits, des choses qui sont déconseillés...) à respecter. C'est ainsi qu'en Islam tout devient sacré. C'est pourquoi le Prophète dit à ses Compagnons que les relations intimes entre époux sont des actes rétribué par Dieu. Et lorsqu'ils s'en étonnèrent, il leur dit :" Que pensez-vous si l'on assouvissait ses appétits charnels de manière illicite, ne commettrait-on pas un péché ? Eh bien ! Il en est de même lorsqu'on les assouvit de façon licite : on obtient une récompense".

Nous dirons que pratiquer des actes qui ne sont pas purement culturels est laissé à l'appréciation de chaque individu. D'ailleurs au sujet des relations intimes, Dieu a explicitement dit, dans le Coran, qu'elles pouvaient être pratiqués (comme vous le voulez) II,223. 

Quelles sont les diverses positions à adopter ? Et quels préliminaires adopter ? Tout cela n'est pas spécifier dans les sources de l'Islam; cela est laissé à l'appréciation de chaque couple, comme le souligne Châh Walliyyoullah dans Houjjat Allâh Al Bâligha (2, 356-357). La règle est donc la permission originelle, à condition, bien sûr, que soient respectés un certain nombre de principes enseignés par l'Islam.

Fiche technique

Référence
9782960097801
Date de parution
Juin 2011
Hauteur (mm)
205
Largeur (mm)
140
Epaisseur (mm)
22
Poids (g)
440
Format
Broché
Langue
Français
Traduction
Temsamani Chebagouda, Abdelhamid
Pages
351
Al-Ghumâriyy, 'Abd Allâh ibn al-Siddîq

Le Cheikh ‘Abd Allâh Ibn al-Siddîq al-Ghumârî reste peu connu du public francophone. Il fut pourtant une des plus grandes autorités intellectuelles de l’islam au XXe siècle. Né et mort à Tanger (1910-1993) il est issu d’une grande famille de lettrés marocains, particulièrement versés dans les sciences du hadith et du fiqh. Son père, le Cheikh Muhammad  Ibn al-Siddîq, fut lui-même un des plus grands savants du Hadith au XIXe siècle. Ce dernier eut six fils qui furent tous des figures saillantes des sciences islamiques, en particulier ‘Abd Allâh, Ahmad et ‘Abd al-‘Azîz.

Après avoir étudié auprès de son père, ‘Abd Allâh parcourut le monde musulman en quête de sciences : diplômé de la Qarâwiyyîn de Fès, d’Al-Azhar en Égypte, il reçut les licences (ijâza) d’enseignement des plus grands maîtres, du Maroc jusqu’en Arabie. Il devint ensuite lui-même l’autorité auprès de laquelle de très nombreux savants vinrent puiser leur savoir.