L'histoire des Wahabis et la naissance du Royaume Saoudien

13,50 €
Disponible
  • 280
  • Mai 2015

De Corancez nous livre, dans cet ouvrage majeur, la première description des moeurs et des usages des wahhabites ainsi que de leurs expéditions guerrières qui mirent à sac le Hijaz, de La Mecque à Médine en passant par Mascat au nom de la réforme des moeurs et de la religion.

Quantité

Alors qu'il est en passe de devenir la doctrine officielle d'une grande partie des pays musulmans, le wahhabisme ne cesse de susciter des questionnements quant à son origine et à la réelle portée de sa doctrine. Se présentant comme un retour aux sources, le "cinquième rite" de l'islam sunnite a réussi en moins d'un siècle d'existence de la monarchie saoudite, à remodeler en profondeur l'islam sunnite au détriment des quatre rites majeurs. Cet ouvrage permet, de par la position d'observateur averti de l'auteur, d'en saisir les principes fondateurs ainsi que les mécanismes d'alliance entre les Al-Saoud et Ibn Abdelwahhab qui se répartirent le pouvoir temporel et l'autorité spirituelle ébranlant ainsi les fondements du pouvoir califal. De Corancez nous livre, dans cet ouvrage majeur, la première description des moeurs et des usages des wahhabites ainsi que de leurs expéditions guerrières qui mirent à sac le Hijaz, de La Mecque à Médine en passant par Mascat au nom de la réforme des moeurs et de la religion.

Fiche technique

Référence
9791022500005
Date de parution
Mai 2015
Collection
Etudes
Hauteur (mm)
190
Largeur (mm)
130
Epaisseur (mm)
20
Poids (g)
270
Format
Broché
Langue
Français
Préface
Redissi, Hammadi
Pages
280
De Corancez, Louis Alexandre Olivier

Fils de l’avocat et homme de lettres parisien Olivier Guillaume de Corancez, ami intime de Jean-Jacques Rousseau et fondateur du Journal de Paris, Louis Alexandre Olivier de Corancez naquit en 1770 dans une société érudite aux goûts éclectiques. Son éducation soignée développa son intérêt pour les sciences abstraites et les Arts. Il fut attaché à l’expédition d’Égypte et devint membre de l'Institut d'Egypte le 4 juillet 1799 dans la section d'économie politique. Son retour en France marqua le départ de sa carrière diplomatique. Il servit dès 1802, avec succès, comme consul général à Alep, jusqu’à ce que sa santé fragile l’amène à regagner la France en 1810 et à solliciter en 1814 une retraite qui favorisera ses goûts scientifiques et littéraires comme en témoigne une œuvre riche et abondante. Il mourut à Asnières en 1832 lors de l’épidémie de choléra.