Al-Youssi : Problèmes de la culture marocaine au XVIIe siècle

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  • 140
  • Mai 2001

Ce livre, aux contours académiques, est une invite au grand public à une meilleure connaissance de la réalité sociologique et culturelle marocaine - qui devait demeurer en sommeil jusqu'à l'incursion des européens - à partir de la trajectoire d'un homme de pensée et de conviction, Al-Youssi. Malgré l'aura dont il jouit, il demeure peu ou mal connu...

Quantité

Ce livre, aux contours académiques, est une invite au grand public à une meilleure connaissance de la réalité sociologique et culturelle marocaine - qui devait demeurer en sommeil jusqu'à l'incursion des européens - à partir de la trajectoire d'un homme de pensée et de conviction, Al-Youssi. Malgré l'aura dont il jouit, il demeure peu ou mal connu. Le livre de Jacques Bercque demeure indépassé à propos de cet homme que ses contemporains comparait au fondateur de l'école rationaliste mu'tazilite, Hassan al-Basri. Al-Youssi représente, sans conteste, un pan du génie marocain et maghrébin.

Sommaire : L'homme; L'oeuvre; Maitres et disciples; Géographie de la culture marocaine au XVIIe siècle: La débat populaire; Les écoles; La doctrine et le pouvoir; Problèmes juridiques; L'adâb et les influences orientales; Le soufisme; Place des Muhâdarât dans l'histoire du Maroc.

Fiche technique

Référence
9789954016688
Date de parution
Mai 2001
Hauteur (mm)
240
Largeur (mm)
160
Poids (g)
280
Format
Broché
Langue
Français
Pages
140
Berque, Jacques

Jacques Berque, né à Frenda (Algérie francaise) le 4 juin 1910 et mort à Saint-Julien-en-Born (Landes) le 27 juin 1995, est un sociologue et anthropologue orientaliste français.

Jacques Berque est titulaire de la chaire d'histoire sociale de l'Islam contemporain au Collège de France de 1956 à 1981 et membre de l'Académie de langue arabe du Caire depuis 1989.

Il est l'auteur de nombreuses traductions, appréciées notamment pour la qualité de leur style, dont celle du Coran, et de nombreux ouvrages et essais, notamment Mémoires des deux rives. Il décrit l'utopie d'une « Andalousie », c’est-à-dire d'un monde arabe renouvelé, retrouvant à la fois ses racines classiques et sa capacité de faire preuve de tolérance et d'ouverture.